Le mandala permet de se centrer, de s’harmoniser!

Outil de méditation, d’harmonisation, de perfectionnement, de croissance. Le mandala s’avère un moyen judicieux pour contrecarrer le stress, pour nous permettre de ralentir, de revenir au centre de soi afin de prendre contact avec notre vérité profonde.

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Le choix des couleurs : un rappel de nos états d’être

Les couleurs que l’on place dans le mandala se placent à l’intérieur de soi. Cette façon de privilégier les couleurs qui conviennent dans l’instant permet de reconnaître nos émotions. Le mandala, une forme d’exutoire, libère le trop plein; protégé par le cercle, il permet d’exprimer nos états d’âme. Il a pour principe de ramener au conscient ce qui est inconscient,  il est une façon merveilleuse d’accueillir les messages de l’esprit.

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L’origine du mandala : la nature

Le mot mandala vient d’une ancienne langue indienne qui veut dire en sanskrit, cercle sacré, ou magique, circonférence, sphère.  Très présent dans les coutumes orientales, nous pourrions croire qu’il origine de l’Extrême-Orient,cependant le mandala date du début de la création. Le premier mandala, selon certains adeptes, serait le Big Bang. La nature nous offre plusieurs modèles de mandalas : la lune, le soleil, les fleurs, les fruits, les cristaux, etc.

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Le mandala au Tibet : un objet sacré

Au Tibet, les adeptes du mandala en ont fait un objet sacré. Pendant des heures, ils reproduisent les mandalas avec du sable de couleurs, parfois devant la porte d’entrée, afin d’attirer les bonnes grâces, pour ensuite balayer le tout ce qui confirme le côté éphémère des choses.

Carl G. Jung, éminent psychiatre, a été le premier à faire le lien avec le point central et la psyché de l’être. Alors qu’il traversait une période difficile dans sa vie, il s’est mis à dessiner à l’intérieur du cercle. C’est ainsi qu’il a constaté que le dessin était en relation avec son état d’être.  C’est ainsi qu’il a découvert l’aspect thérapeutique du mandala et qu’il a utilisé cet outil auprès de sa clientèle.

Festival Mylapore, concours Kolam 2017

«Ces femmes contribuent à transformer une rue ordinaire en un véritable chef-d’oeuvre. Lorsque nous créons des mandalas, nous contribuons à la beauté du monde et à l’harmonie en soi.»